ÉDITION SPÉCIALE SUR L’ALUMINIUM
Ma comparution devant la chambre disciplinaire du Conseil national de l’Ordre des médecins
Je reçois beaucoup de questions à propos de ma comparution, le 24 mai 2018, devant la chambre disciplinaire du Conseil national de l’Ordre des médecins.
Quel qu’en soit le résultat définitif, je reste confiant dans l’écoute attentive des 5 Juges médecins et de la Présidente membre du Conseil d’État.
Le Président du Conseil de l’Ordre de mon département a clairement exprimé la disproportion entre la radiation prononcée, puis suspendue, et la faute s’il y a faute.
Mon avocat a parfaitement présenté les attaques incessantes dont j’ai été l’objet dans les grands médias, faisant courir le bruit que j’étais radié à jamais de l’Ordre des médecins, que je ne serais plus Professeur, ce qui n’est pas possible, alors que la radiation à peine prononcée en juillet 2016 était immédiatement suspendue par deux appels.
Tous deux ont parfaitement démontré que je n’ai jamais été contre les vaccins, mais seulement contre les excès, et, plus encore, que j’ai voulu révéler certains dangers quand ils ne sont pas indiqués.
Personnellement j’ai expliqué ma démarche de défenseur, lanceur d’alertes pour tous, en particulier les familles et les enfants, et pourquoi j’ai informé par voie de pétition pour être entendu du public le plus large en assumant tous les termes utilisés. C’était et c’est encore le seul moyen de dépasser le blocage médiatique et institutionnel sur ce sujet des vaccins.
La première pétition contre la vaccination massive des jeunes enfants qui se préparait contre les papilloma virus a recueilli, en très peu de temps, plus de 400 000 signatures, et a pu faire reculer les autorités de santé. La deuxième réclamant le retour au classique DTP SANS ALUMINIUM a été signée par près de 1,150 000 personnes.
Ce n’est pas la vaccination qui est remise en cause, ce sont les indications et les effets indésirables.
Les affirmations que j’ai révélées reposent sur un travail continu et encore actuel. J’ai obtenu tous les renseignements nécessaires auprès des collègues les plus compétents, et de la littérature scientifique internationale la plus solide et très active en ce moment.
Le point le plus important concerne l’adjuvant aluminium présent dans les vaccins, dès la première dose obligatoire selon la loi
Chez un nourrisson de 2 mois, la dose d’aluminium métal injectée par la première dose de vaccin est nettement supérieure à la Dose Minimale Toxique fixée par la FDA (Food and Drug Administration) et de l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé).
C’est un Expert Pharmacologue-Toxicologue spécialisé en Pharmacocinétique, Professeur honoraire de Chimie Thérapeutique et Pharmacocinétique, et Ingénieur chimiste, qui a pu calculer et démontrer l’impossibilité de poursuivre les vaccinations des nouveau-nés selon la nouvelle loi des 11 vaccins obligatoires du 30 décembre 2017, sous peine de mettre les enfants en danger. Ces résultats sont confirmés par des publications internationales versées aux pièces déposées pour ma défense.
Aucun médecin, donc, ne peut accepter d’injecter, dans le corps d’un nourrisson, une dose supérieure aux doses considérées unanimement comme nocives par les experts internationaux de l’aluminium depuis 1989. Les preuves sont présentes dans l’Appel que nous avons co-signé avec le Professeur Jean-Bernard Fourtillan, et qui suit.
Ensemble nous en appelons au Président de la République.
MERCI à toutes celles et ceux qui me soutiennent et ont compris les dangers certains de l’adjuvant aluminique dans les vaccins. Cet adjuvant doit être définitivement interdit.
En téléchargeant la version originale de la Lettre adressée au Président de la République Française, les parents pourront, avec ce document, justifier leur opposition à la vaccination obligatoire actuelle de votre enfant.
Télécharger la lettre
Ils pourront aussi se rendre compte que l’aluminium est présent, dans les pansements gastriques, à des concentrations qui dépassent largement les doses toxiques. Ces médicaments anti-acides, très largement prescrits à la population, doivent être également interdits.
N’hésitez pas à diffuser très largement ces informations de SANTÉ PUBLIQUE, et cet APPEL au Président de la République Française, au plus grand nombre.
Pr Henri Joyeux
UN APPEL URGENT
À MONSIEUR LE PRÉSIDENT
DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE
La présence d’aluminium dans l’organisme
représente un danger mortel pour l’homme
En raison de sa grande toxicité pour l’organisme,
confirmée par la valeur de sa Dose Minimale à Risque définie par la FDA* et reprise par l’OMS**, l’aluminium doit être formellement interdit dans tous les médicaments et produits de santé.
Professeur Jean-Bernard FOURTILLAN
Ingénieur chimiste, Professeur honoraire de Chimie thérapeutique et Pharmacocinétique, ancien Pharmacien des hôpitaux, ancien Expert Pharmacologue Toxicologue spécialisé en Pharmacocinétique auprès de l’AFSSAPS*
Professeur Henri JOYEUX
Ancien Chirurgien des hôpitaux, Professeur honoraire de Cancérologie et de Chirurgie digestive
La directive de la FDA, reprise par l’OMS,
implique le retrait immédiat de l’aluminium
dans tous les produits de santé à usage humain
(Pansements gastriques et vaccins contenant l'adjuvant aluminique)
* Food and Drug Administration : Autorité Suprême de Santé des Etats Unis d’Amérique
** Organisation Mondiale de la Santé
*** Agence Française de Sécurité Sanitaire des Produits de Santé. Cette agence créée par la loi du 1er juillet 1998 est un organisme qui s’est substitué en 1999 à l’agence du médicament et qui est placée sous la tutelle du ministre chargé de la santé. Son rôle est l’évaluation et la vigilance pour tout ce qui concerne la veille sanitaire et le contrôle de la sécurité sanitaire des produits destinés à l’homme.
Résumé
Les doses d’aluminium présentes dans la composition des pansements gastriques commercialisés en France (Maalox, Phosphalugel, Moxydar, Rocgel, Xolaam) et les vaccins contenant l’adjuvant aluminique, sont toutes, sans exception, supérieures à la Dose minimale Toxique (Minimal Risk Level) édictée par la FDA et l’OMS en 1989, dès la première administration de ces pansements gastriques, et vaccins, à l’homme.
Ce commandement de la FDA et de l’OMS, qui doit conduire à une interdiction impérative d’administrer tous ces médicaments, vient se placer, fort heureusement pour la santé des hommes, au-dessus de la loi du 30 décembre 2017 sur les 11 vaccins obligatoires, que l’on doit considérer comme une loi mortifère.
En effet, cette loi Française a été promulguée en toute ignorance ou mauvaise interprétation comme on préfèrerait le croire, des recommandations de la FDA et de l’OMS. Elle oblige les parents et les médecins à administrer les 11 vaccins obligatoires aux enfants sous peine de sanctions graves (amendes, voire emprisonnement, radiation de l’ordre pour les médecins résistants, etc.).
Tous ces médicaments doivent être immédiatement interdits par le Président de la République Française
La directive de la FDA, et de l'OMS
Elle définit des valeurs toxicologiques de référence pour l’aluminium alimentaire, déterminées à partir de l’expérimentation animale et extrapolées à l’homme :
Le Taux Minimal de Risque ou MRL (Minimal Risk Level) est fixé à 1 mg d’aluminium métal/kg de poids corporel/jour, dans l’alimentation, c’est-à-dire pour l’administration orale, chez l’homme.
Il tient compte essentiellement du risque de neuro-toxicité. Ce risque est lié au passage d'une partie de l'aluminium métal dans la circulation sanguine et à sa distribution aux différents organes, en particulier le cerveau et le squelette.
Le seul travail expérimental, réalisé en 1996, à partir duquel a été fixée, par la FDA, la détermination de la Dose Minimale Toxique, est une étude de toxico-cinétique réalisée par P. JOUHANNEAU, un grand spécialiste de l’Aluminium (Référence: Jouhanneau, P., Raisbeck, G.M., Yiou, F., Lacour, B., Banide, H., and Drüeke, T.B. 1995. Gastrointestinal absorption, tissue retention and urinary excretion of dietary levels of aluminium in rats as determined by 26Al. Clin. Chem., 1997).
Ce résultat est confirmé par les 4 membres du groupe de travail, mis en place par l’Académie nationale de Médecine, dans l’article du Bulletin de l’Académie nationale de Médecine du 26 juin 2012 (Pierre BÉGUÉ, Marc GIRARD, Hervé BAZIN, Jean-François BACH – Les adjuvants vaccinaux : quelle actualité en 2012 ? Bull. Acad. Natle Méd., 2012, 196, n° 6, 1177-1181, séance du 26 juin 2012).
Dans cet article, il est écrit, dans le Résumé, à la page 1177, ainsi que dans la Question 2, à la page 1179 :
« Des recommandations (OMS, FDA) ont permis d’établir des valeurs toxicologiques de référence pour l’aluminium alimentaire, déterminées à partir de l’expérimentation animale et extrapolées à l’homme : le taux minimal de risque ou MRL (minimal risk level) est fixé à 1 mg/Kg/jour. Il tient compte essentiellement du risque de neuro-toxicité. Les vaccins du calendrier vaccinal contiennent une dose d’aluminium réglementaire inférieure à 0,85 mg/dose. La cinétique comparée entre aluminium ingéré et aluminium injecté est bien étudiée, et elle indique que par voie digestive l’aluminium de l’alimentation courante est très peu absorbé, tandis qu’administré par voie sanguine il se concentre principalement dans l’os, alors que sa présence dans le cerveau est en très faibles quantités. Un seul travail expérimental, utilisant les adjuvants marqués, démontre que la quantité d’aluminium importée par les vaccins injectés aux nourrissons, et prévus par le calendrier vaccinal, exposent à un risque très inférieur à la dose de sécurité minimale actuellement définie pour l’alimentation ».
Cette déclaration appelle les commentaires suivants :
– D’un point de vue scientifique, il paraît absurde, à priori, pour juger de la toxicité d’un composé tel que l’aluminium dans les vaccins contenant l’adjuvant aluminique, de comparer la quantité d’aluminium de la dose vaccinale, qui pénètre totalement dans l’organisme, à la Dose Minimale (jugée) Toxique, soit 1 mg/kg de poids corporel/jour (recommandée par l’OMS, et la FDA), par voie orale.x@
Mais il s’agit d’une étude de toxico-cinétique qui relie la toxicité de l’aluminium, présent dans les aliments, à la quantité d’aluminium, biodisponible, qui pénètre dans l’organisme. Cette étude de toxico-cinétique émane d’un article publié par un spécialiste, incontesté, de l’aluminium, le Professeur Christopher EXLEY (référence 1). Cette publication indique que, selon un consensus reconnu par tous les spécialistes, tels que JOUHANNEAU et al (référence 2), l’absorption gastro-intestinale de l’aluminium, comprise entre 0,1 et 1%, est inférieure à 1% (voir en bas de la page 119).
- La conclusion des auteurs de l’article : « Un seul travail expérimental, utilisant les adjuvants marqués, démontre que la quantité d’aluminium importée par les vaccins injectés aux nourrissons, et prévus par le calendrier vaccinal, exposent à un risque très inférieur à la dose de sécurité minimale actuellement définie pour l’alimentation », est surprenante, et fausse, car elle est exactement à l'opposé de ce qu’ils auraient dû conclure.
Ils auraient dû conclure ainsi : « Un seul travail expérimental, utilisant les adjuvants marqués, démontre que la quantité d’aluminium importée par les vaccins injectés aux nourrissons, et prévus par le calendrier vaccinal, exposent à un risque très supérieur à la dose de sécurité minimale actuellement définie pour l’alimentation ».
– En effet, comme le confirment les Membres du groupe de travail de l’Académie nationale de Médecine, cette étude de toxico-cinétique est à la base de l’établissement de la dose minimale toxique (minimal risk level), fixée par la FDA et l’OMS.
Il est donc formellement interdit d’administrer à l’homme, par voie orale, une dose supérieure à 1 mg d’aluminium métal/kg de poids corporel/jour, ce qui correspond à une absorption (passage dans la circulation sanguine) dans l’organisme de 0,01 mg d’aluminium métal/kg de poids corporel/jour, compte tenu des résultats de l’absorption gastro-intestinale de l’aluminium radioactif (26Al) de l’étude de toxico-cinétique de P. JOUHANNEAU (référence 2).
On en déduit qu'il doit être formellement interdit, selon les recommandations de la FDA et de l’OMS, d'injecter dans l'organisme, par quelle que voie que ce soit, en particulier par voie IM, sous forme de vaccins, des doses d'aluminium égales et, à fortiori, supérieures à 0,01 mg d'aluminium métal/kg de poids corporel/jour.
Références :
1– Christopher Exley, Ellen Burgess, J. Philip Day, Elizabeth H. Jeffery, Srikumaran Melethil, Robert A. Yokel. ALUMINIUM TOXICOKINETICS, in RESEARCH ISSUES IN ALUMINIUM TOXICITY, Edited by Robert A. Yokel and Mari S. Golub, Volume 48, number 6, August 30, 1996, p. 117-132.
2– Jouhanneau, P., Raisbeck, G.M., Yiou, F., Lacour, B., Banide, H., and Drüeke, T.B. 1995.Gastrointestinal absorption, tissue retention and urinary excretion of dietary levels of aluminium in rats as determined by 26Al. Clin. Chem., 1997.
Mode de calcul de la quantité d’aluminium métal dans les sels d’aluminium des pansements gastriques et des adjuvants aluminiques des vaccins
Comme nous venons de le voir, la Dose Minimale Toxique d’aluminium métal pour les vaccins, soit 0,01 mg d’aluminium métal/kg de poids corporel/jour, a pu être calculée à partir de la Dose Minimale Toxique d’aluminium métal, décrite dans la directive de la FDA et l’OMS, soit 1 mg d’aluminium métal/kg de poids corporel/jour, pour l’aluminium alimentaire, qui est applicable aux sels d’aluminium des pansements gastriques administrés par voie orale.
Pour déterminer les niveaux de la toxicité qui résulte de la présence des sels d’aluminium dans les pansements gastriques, administrés par voie orale, et dans les vaccins contenant les adjuvants aluminiques, il faut calculer les concentrations en aluminium métal, ou plus exactement en ion Al3+ seule forme soluble d’aluminium qui peut circuler dans les milieux biologiques, des principaux pansements gastriques, commercialisés en France, ainsi que celles des vaccins contenant l’adjuvant aluminique.
Étant donné que les Doses Minimales Toxiques sont exprimées en aluminium métal (27Al), il est nécessaire de rappeler ses caractéristiques :
– Élément du groupe 13 et de la 3ème période du tableau périodique des éléments chimiques ;
– Numéro atomique : 13
– Masse atomique égale à 26,9815386 ± 8 x10-7u, ramenée à 27 unités de masse ;
– Un seul isotope de 27Al est stable, le radioisotope 26Al, qui existe dans la nature, et dont la demi-vie est égale à 7,17 x 105années. Il a été utilisé dans la seule étude expérimentale de toxico-cinétique réalisée à ce jour par JOUHANNEAU et al (référence 2), relatée dans un article publié par un spécialiste incontesté de l’aluminium, le Professeur Christopher EXLEY (référence 1). Cette publication indique que, selon un consensus reconnu par tous les spécialistes, tels que JOUHANNEAU et al (référence 2), l’absorption gastro-intestinale de l’aluminium est comprise entre 0,1 et 1 %, soit inférieure à 1%.
Références :
1– Christopher Exley, Ellen Burgess, J. Philip Day, Elizabeth H. Jeffery, Srikumaran Melethil, Robert A. Yokel. ALUMINIUM TOXICOKINETICS, in RESEARCH ISSUES IN ALUMINIUM TOXICITY, Edited by Robert A. Yokel and Mari S. Golub, Volume 48, number 6, August 30, 1996, p. 117-132.
2– Jouhanneau, P., Raisbeck, G.M., Yiou, F., Lacour, B., Banide, H., and Drüeke, T.B. 1995. Gastrointestinal absorption, tissue retention and urinary excretion of dietary levels of aluminium in rats as determined by 26Al. Clin. Chem., 1997.
Dans l’organisme humain, l’aluminium ne peut circuler que sous forme d’ion Al3+, qui est soluble dans les milieux biologiques, contrairement à l’aluminium sous forme métallique (constituant de nos ustensiles de cuisine, etc.), Al (appelé aluminium métal dans la directive de la FDA), qui est totalement insoluble dans les milieux biologiques.
Mais, quantitativement, la masse de Al3+ est identique à celle de Al, soit 27.
Donc pour calculer les quantités d’Aluminium métal, c’est-à-dire de l’ion Al3+, contenues dans les sels d’aluminium tels que l’hydroxyde d’aluminium Al (OH)3 ou le phosphate d’aluminium Al PO4, il faut procéder de la façon suivante :
Sachant que la masse atomique de l’aluminium Al, ou de l’ion Al3+, est égale à 27, et que la masse du sel Al(OH)3 est égale à 78 [27 pour l’Al + 17 x 3 pour (OH)3], et que la masse du sel Al PO4 est égale à 122 [27 pour l’Al + 31 pour P + 64 pour O4], il faut multiplier les quantités de sels d’aluminium correspondant à l’adjuvant aluminique par le rapport 27/78, pour l’hydroxyde d’aluminium, et le rapport 27/122, pour le phosphate d’aluminium.
Ces précisions méritent d’être rappelées :
– à titre d’information, dans le tableau des vaccins contenant le DTP qui figure sur le site de la Ligue nationale pour la liberté des vaccinations ;
– et à l’attention des Membres du groupe de l’Académie Nationale de Médecine, qui ont rédigé l’article paru dans le bulletin de l’Académie nationale de Médecine, car ils n’en ont pas tenu compte (Pierre BÉGUÉ, Marc GIRARD, Hervé BAZIN, Jean-François BACH – Les adjuvants vaccinaux : quelle actualité en 2012 ? Bull. Acad. Natle Méd., 2012, 196, n° 6, 1177-1181, séance du 26 juin 2012).
Les pansements gastriques contenant de l'aluminium
En France 5 médicaments, pansements gastriques anti-acides, contenant de l’aluminium, sont commercialisés : MAALOX, le PHOSPHALUGEL, le MOXYDAR, le ROCGEL, le XOLAAM.
1- MAALOX (Sanofi)
COMPOSITION
Posologie : 1 à 2 comprimés, ou 1 cuillère à soupe, ou 1 à 2 sachets par prise au moment des brûlures oeso-gastriques. Ne pas dépasser 12 comprimés par jour, ou 6 cuillères à soupe par jour ou 12 sachets par jour.
Compte tenu du rappel précédent on en déduit que :
– Chaque comprimé de MAALOX contient 400 mg x 27/78 = 138,5 mg d’aluminium métal, ce qui pour un homme de 60 kg représente 138,5 mg/60 kg = 2,31 mg d’aluminium par kg de poids corporel, ce qui correspond à 2,3 fois la dose minimale toxique par jour définie par la FDA et l’OMS.
Pour la posologie maximale autorisée, de 12 comprimés par jour, un homme de 60 kg absorbera 2,3 x 12 = 27,6 fois la dose minimale toxique par jour.
– Chaque cuillère à soupe de suspension buvable de MAALOX contient :525 mg x 27/78 = 181,7 mg d’aluminium métal, ce qui pour un homme de 60 kg représente 181,73 mg/60 kg = 3,03 mg d’aluminium par kg de poids corporel, ce qui correspond à 3 fois la dose minimale toxique par jour définie par la FDA et l’OMS.
Pour la posologie maximale autorisée, de 6 cuillères à soupe par jour, un homme de 60 kg absorbera 3 x 6 = 18 fois la dose minimale toxique par jour.
– Chaque sachet de MAALOX contient 460 mg x 27/78 = 159,2 mg d’aluminium métal, ce qui pour un homme de 60 kg représente 159,2 mg/60 kg = 2,65 mg d’aluminium par kg de poids corporel, ce qui correspond à 2,65 fois la dose minimale toxique par jour définie par la FDA et l’OMS.
Pour la posologie maximale autorisée, de 6 sachets par jour, un homme de 60 kg absorbera 2,65 x 6 = 16 fois la dose minimale toxique par jour.
2- PHOSPHALUGEL (Astellas Pharma)
COMPOSITION
Chaque sachet ou cuillère à soupe de PHOSPHALUGEL: contient 2,476 g, soit 2476 mg de phosphate d’aluminium, soit 2476 mg x 27/122 = 548 mg d’aluminium métal, ce qui pour un homme de 60 kg représente 548 mg/60 kg = 9,13 mg d’aluminium par kg de poids corporel, ce qui correspond à 9,13 fois la dose minimale toxique par jour définie par la FDA et l’OMS.
Pour la posologie maximale autorisée, de 6 sachets par jour, ou de 6 cuillères à soupe, un homme de 60 kg absorbera 9,13 x 6 = 55 fois la dose minimale toxique par jour.
3- MOXYDAR (Grimberg)
COMPOSITION
Compte tenu du rappel précédent on en déduit que chaque comprimé de MOXYDAR contient 500 mg x 27/78 = 173,1 mg d’aluminium métal + 300 mg x 27/122 = 66,4 mg d’aluminium métal, soit au total : 239,5 mg d’aluminium métal, ce qui pour un homme de 60 kg représente 239,5 mg/60 kg = 4 mg d’aluminium par kg de poids corporel, ce qui correspond à 4 fois la dose minimale toxique par jour définie par la FDA et l’OMS.
Pour la posologie maximale autorisée, de 4 comprimés par jour, un homme de 60 kg absorbera 4 x 4 = 16 fois la dose minimale toxique par jour.
4- ROCGEL (D & A Pharma)
COMPOSITION
Compte tenu du rappel précédent on en déduit que chaque sachet de ROCGEL contient 1212 mg x 27/78 = 419,5 mg d’aluminium métal, ce qui pour un homme de 60 kg représente 419,5 mg/60 kg = 7 mg d’aluminium métal par kg de poids corporel, ce qui correspond à 7 fois la dose minimale toxique par jour définie par la FDA et l’OMS.
Pour la posologie maximale autorisée, de 6 sachets par jour, un homme de 60 kg absorbera 7 x 6 = 42 fois la dose minimale toxique par jour.
5- XOLAAM (Ranbaxys Pharmacie Générique)
COMPOSITION
Posologie : 1 à 2 comprimés, ou 1 cuillère à soupe, au moment des douleurs. Ne pas dépasser 12 comprimés par jour, ou 6 cuillères à soupe par jour.
Compte tenu du rappel précédent on en déduit que :
– chaque comprimé de XOLAAM contient 400 mg x 27/78 = 138,5 mg d’aluminium métal, ce qui pour un homme de 60 kg représente 138,5 mg/60 kg = 2,31 mg d’aluminium par kg de poids corporel, ce qui correspond à 2,3 fois la dose minimale toxique par jour définie par la FDA et l’OMS.
Pour la posologie maximale autorisée, de 12 comprimés par jour, un homme de 60 kg absorbera 2,3 x 12 = 27,6 fois la dose minimale toxique par jour.
– Chaque cuillère à soupe de suspension buvable de XOLAAM contient 525 mg x 27/78 = 181,7 mg d’aluminium métal, ce qui pour un homme de 60 kg représente 181,7 mg/60 kg = 3,03 mg d’aluminium par kg de poids corporel, ce qui correspond à 3 fois la dose minimale toxique par jour définie par la FDA et l’OMS.
Pour la posologie maximale autorisée, de 6 cuillères à soupe par jour, un homme de 60 kg absorbera 3 x 6 = 18 fois la dose minimale toxique par jour.
Les vaccins contenant de l'aluminium destinés aux nouveaux-nés
Pour un nourrisson qui pèse 5 kg, à l’âge de 2 mois, lors de sa première vaccination, la dose d’aluminium métal injectée dans son organisme à ne pas dépasser (selon les recommandations de l’OMS et de la FDA) s’élève à : 0,01 mg x 5 kg , soit 0,05 mg d’aluminium.
Or, dès l’âge de 8 semaines, la 1ère dose de l’un des 3 vaccins hexavalents apporte à l’organisme du nourrisson des quantités 4 à 5 fois supérieures à la dose minimale toxique édictée par la FDA et l’OMS. Ce qui est formellement interdit par ces autorités de santé.
En effet :
1) INFANRIX HEXA
Ce vaccin contient :
– 0,50 mg d’hydroxyde d’Aluminium Al (OH)3, ce qui correspond, compte tenu de la masse atomique de l’Aluminium, égale à 27, et de la masse de l’hydroxyde d’Aluminium Al (OH)3, égale à 78, à : 0,50 mg x 27/78 = 0,17 mg d’Aluminium métal
– et 0,32 mg de phosphate d’Aluminium Al PO4, ce qui correspond, compte tenu de la masse atomique de l’Aluminium, égale à 27, et de la masse du phosphate d’Aluminium Al PO4, égale à 122, à : 0,32 mg x 27/122 = 0,07 mg d’Aluminium métal
Ainsi la 1ère dose d’INFANRIX HEXA injecte dans l’organisme 0,17 mg + 0,07 mg, soit 0,24 mg d’Aluminium métal ce qui est 5 fois supérieur à la dose minimale toxique pour un nourrisson de 5 kg.
2) HEXYON et VAXELIS
Ces vaccins contiennent 0,60 mg d’hydroxyde d’Aluminium Al (OH)3, ce qui correspond, compte tenu de la masse atomique de l’Aluminium, égale à 27, et de la masse de l’hydroxyde d’Aluminium Al (OH)3, égale à 78, à : 0,60 mg x 27/78 = 0,21 mg d’Aluminium métal.
Ainsi la 1ère dose d’HEXYON ou VAXELIS injecte dans l’organisme 0,21 mg d’Aluminium métal, ce qui est plus de 4 fois supérieur à la dose minimale toxique pour un nourrisson de 5 kg.
Et ce n’est qu’un début, puisque, pendant sa 1ère année, il recevra dans son organisme d’autres vaccins contenant des adjuvants aluminiques, sous forme de phosphate d’aluminium et d’hydroxyde d’aluminium, comme nous allons le voir.
Composition des autres vaccins obligatoires, destinés aux nourrissons, et qui contiennent les adjuvants aluminiques
PREVENAR 13 (Pfizer)
Le vaccin contre les Pneumocoques (13 sérotypes), nommé PREVENAR 13, du Laboratoire Pfizer, contient 0,125 mg de phosphate d’aluminum pour chacune des 3 doses injectées au nourrisson dès l’âge de 2 mois, puis à 4 mois et 11 mois. Pour chaque dose le nourrisson reçoit 0,125 mg x 27/122 = 0,03 mg d’aluminium métal, valeur proche de la dose minimale toxique pour un nourrisson de 5 kg, qui viennent s’ajouter aux quantités apportées à l’organisme par les autres vaccins contenant les adjuvants aluminiques.
NEISVAC (Pfizer) ou MENJUGATE (GSK) ou MENINGITEC (Nuron Biotech)
Le vaccin contre le Méningocoque C (Neisseria meningitidis du sérogroupe C).
Ces vaccins contiennent 0,30 à 0,40 mg d’hydroxyde d’aluminium. Pour chaque dose le nourrisson reçoit dans son organisme 0,104 mg (0,30 mg x 27/78) à 0,138 mg (0,40 mg x 27/78) d’aluminium métal, ce qui est 2,6 à 3,5 fois supérieur à la dose minimale toxique pour un nourrisson de 5 kg, qui viennent s’ajouter aux quantités apportées à l’organisme par les autres vaccins contenant les adjuvants aluminiques.
Officiellement ce vaccin sera imposé aux nourrissons âgés de 2 à 11 mois, à raison de 2 doses à 2 mois d’intervalle et un rappel au cours de la deuxième année de vie, en respectant un intervalle d’au moins 6 mois après la 2ème dose.
Au total, en application de la loi d’obligation vaccinale, un nouveau-né, dès l’âge de 2 mois, et pendant sa première année, aura reçu, au minimum, 0,908 mg à 1,326 mg d’aluminium métal injectés dans son organisme, dont une partie importante restera dans son organisme pendant des années.
Ce décompte est présenté ci-après :
- 3 ou 4 fois 0,21 à 0,24 mg = 0,63 à 0,96 mg d’aluminium métal injectés dans son organisme sous forme des vaccins hexavalents (INFANRIX HEXA, HEXYON, VAXELIS) ;
- 3 fois 0,03 mg = 0,09 mg d’aluminium métal injectés dans son organisme sous forme des vaccins contre les Pneumocoques (PREVENAR 13) ;
- 2 fois 0, 104 à 0,138 mg = 0,208 à 0,276 mg d’aluminium métal injectés dans son organisme sous forme des vaccins contre les Méningocoques (NEISVAC, ou MENJUGATE, ou MENINGITEC).
Les vaccins contre l’hépatite B destinés aux enfants et aux adultes
ENGERIX B 20 mcg (GSK)
Ce vaccin contient 0,50 mg d’hydroxyde d’aluminium hydraté, soit 0,50 mg x 27/78 = 0,173 mg d’aluminium métal.
Il existe plusieurs schémas d’administration en 2 (enfants âgés de 11 à 15 ans seulement), 3 ou 4 injections entre la 1èreinjection à une date donnée et 6 à 12 mois, ce qui correspond à une dose totale d’aluminium injectée comprise entre 0,346 mg et 0,692 mg d’aluminium métal.
Au total la dose injectée dans l’organisme sur une période de 6 à 12 mois , voisine de la dose minimale à risque, soit 0,01 mg d’aluminium métal/kg de poids corporel/jour, si l’on tient compte du fait qu’une fraction importante, neurotoxique, de la dose totale d’aluminium métal injectée, reste dans l’organisme pendant de nombreuses années.
TWINRIX ENFANT (GSK)
Vaccin de l’hépatite A inactivé et de l’hépatite B (ADNr) HAB, adsorbé.
Il contient 0,055 mg d’aluminium métal :
– 0,025 mg d’hydroxyde d’aluminium, soit 0,025 x 27/78 = 0,011 mg d’aluminium métal ;
– 0,044 mg de phosphate d’aluminium, soit 0,20 x 27/122 = 0,044 mg d’aluminium métal.
TWINRIX ENFANT est indiqué chez les nourrissons, les enfants et les adolescents âgés de 1 à 15 ans révolus, non immunisés contre les virus de l’hépatite A et de l’hépatite B, et identifiés comme à risque d’infection par ces virus.
Habituellement, la primovaccination avec TWINRIX ENFANT comprend 3 doses, la première administrée au jour J0, la seconde 1 mois plus tard, et la troisième 6 mois après la première injection.
Au total l’enfant vacciné aura reçu 0,110 mg d’aluminium métal au bout d’un mois, et 0,165 mg sur une période de 6 mois après l’injection de la première dose.
CONCLUSION
L’excellente étude de toxico-cinétique de P. JOUHANNEAU a permis la détermination, par la FDA, de la Dose Minimale Toxique (Minimal Risk Level), fixée à 1 mg d’aluminium métal/kg de poids corporel/par jour dans l’alimentation orale, chez l’homme ; dose à ne pas dépasser, sous peine de mettre en danger la santé de l’homme.
Pour des raisons incompréhensibles la directive de la FDA, reprise par l’OMS, n’a jamais été mise en application, pour les pansements gastriques antiacides, qui contiennent des sels d’aluminium.
Or, c’est précisément cette même étude toxico-cinétique de P. JOUHANNEAU qui a permis de mesurer l’absorption gastro-intestinale de l’aluminium métal, à partir des sels d’aluminium, présents dans l’alimentation ou les pansements gastriques anti-acides. Ces travaux ont permis de calculer la biodisponibilité de l’aluminium métal, administré par voie digestive. Elle est comprise entre 0,1 et 1%, , ce qui nous indique qu’il ne faut pas injecter dans l’organisme, par quelle que voie que ce soit, et notamment par voie IM, sous forme de vaccins contenant l’adjuvant aluminique, des doses égales, et, à fortiori, supérieures à 0,01 mg d’aluminium exprimé en quantité de métal (27Al)/kg de poids corporel/jour.
Une seule administration de tous les médicaments à usage humain, pansements gastriques antiacides qui contiennent des sels d’aluminium, par voie orale, et vaccins contenant des adjuvants aluminiques, par voie intramusculaire, expose l’homme aux dangers consécutifs au large dépassement de la Dose Minimale Toxique fixée par la FDA, et reprise par l’OMS, afin de protéger les êtres humains.
On notera que, pour les mêmes raisons scientifiques, les adjuvants aluminiques sont interdits, en France, depuis décembre 2015, dans les vaccins à usage vétérinaire.
Pourquoi nos amies les bêtes seraient-elles mieux protégées que nous ?
Dans ces conditions, nous demandons instamment à Monsieur le Président de la République Française, garant de la protection des Français, non seulement d’abroger la loi d’obligation vaccinale du 30 Décembre 2017, encore une « exception française », qui est mortifère, mais aussi d’interdire le plus tôt possible, sans prendre en considération le problème économique que cela va poser aux Laboratoires pharmaceutiques, la fabrication, la détention, la distribution, la prescription, et la vente de tous les médicaments qui contiennent des sels d’aluminium (pansements gastriques antiacides et vaccins avec adjuvants aluminiques).
Télécharger la lettre
La Lettre du Professeur Joyeux est un service d’information santé indépendant et gratuit, spécialisé dans la prévention des maladies auprès du grand public et des familles. Pour vous inscrire à la lettre, cliquez ici.
Les informations de cette lettre d’information sont publiées à titre purement informatif et ne peuvent être considérées comme des conseils médicaux personnalisés. Aucun traitement ne devrait être entrepris en se basant uniquement sur le contenu de cette lettre, et il est fortement recommandé au lecteur de consulter des professionnels de santé dûment homologués auprès des autorités sanitaires pour toute question relative à leur santé et leur bien-être. Aucune des informations ou de produits mentionnés sur ce site ne sont destinés à diagnostiquer, traiter, atténuer ou guérir une maladie.
Vous avez une Question Personnelle de Santé (réponse confidentielle) ou vous souhaitez bénéficier des services réservés? Rejoignez FamillesSantéPrévention, votre association de Prévention Santé, cliquez ICI pour une cotisation annuelle.
|